Les fusillés pour l’exemple : du 24 mars au 2 avril 2018
Exposition et conférence de la Ligue des Droits de l’Homme, organisée par le PHàR en partenariat avec Monsieur André Silvain.
Le Nord-Pas-de-Calais dénombre 56 soldats de la Grande Guerre fusillés «pour l’exemple».
Il leur était reproché d’avoir refusé de partir à l’assaut, ou de s’être opposés à l’application des ordres, ou d’avoir fugué (même pour un temps limité), voire de s’être automutilés. Certains ont été tués sans pitié et sans procès sur le front lui-même, par leur officier, devant leurs camarades ; d’autres ont été traduits en justice et jugés par un tribunal militaire, mais sans jamais avoir eu l’opportunité de présenter leur défense pour justifier leur acte.
Leurs noms ne figurent que rarement sur nos monuments aux Morts.
L’un de ces hommes était rumaucourtois, et il était légitime que nous nous associons au combat pour la préservation de sa mémoire.
L’un de ces hommes était rumaucourtois, et il était légitime que nous nous associons au combat pour la préservation de sa mémoire.
- Conférence du Samedi 24 mars 2018, par Mme Maryvonne URBANIK de la Ligue des droits de l’Homme.
- et présentation de l’exposition aux élèves des classes de CE1, CM1 et CM2 de l’école de Rumaucourt (RPI) le vendredi 30 mars 2018.
»Octobre 1914 – septembre 1918 : un village en souffrance »
Une exposition PHàR, le vendredi 11 novembre 2016, a retracé 4 années d’occupation et raconte les destructions au travers de photos, documents, plans et récits
« Octobre 1914 – septembre 1918 : un village en souffrance »
Le 11 novembre 2016, la plaque commémorative de l’attribution de la Croix de Guerre à la commune de Rumaucourt a été inaugurée.
En effet, le 23 septembre 1920, le village de Rumaucourt a reçu la Croix de Guerre en reconnaissance des destructions, souffrances et pertes humaines qu’il a subies lors de la 1ère guerre mondiale.
RECTO-VERSO, le 30 septembre 2012
Nos vieilles cartes racontent aussi des histoires …
Grâce aux acquisitions de ses membres et aux prêts de documents émanant de Rumaucourtois, l’association dispose maintenant d’une large collection de cartes postales anciennes de Rumaucourt.
Et nous avons eu l’idée de sortir de l’habituelle présentation des photos du village et de ses habitants qu’elles immortalisent pour aller à la découverte de ce qu’elles nous racontent à leur dos.
Ces écrits, brefs ou longs, chargés d’émotion ou juste informatifs, familiaux ou impersonnels, ils nous interpellent tous et nous parlent de nos racines, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos aïeux… à une époque où, pour le plus grand nombre, le téléphone et la voiture n’existaient pas : seule une carte postale permettait de communiquer rapidement avec un ami, un proche.
Nous vous invitons à consulter dans l’onglet Patrimoine historique des extraits de cette exposition.
Cette exposition a été installée le dimanche 30 Septembre 2012 dans l’église de la commune. Elle rassemblait 74 documents authentiques, répartis en 15 panneaux.
Ces écrits, brefs ou longs, chargés d’émotion ou juste informatifs, familiaux ou impersonnels, ils nous interpellent tous et nous parlent de nos racines, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos aïeux… à une époque où, pour le plus grand nombre, le téléphone et la voiture n’existaient pas : seule une carte postale permettait de communiquer rapidement avec un ami, un proche.
Nous vous invitons à consulter dans l’onglet Patrimoine historique des extraits de cette exposition.
Nb : cette exposition a été installée le dimanche 30 Septembre 2012 dans l’église de la commune. Elle rassemble 74 documents authentiques, répartis en 15 panneaux.
Les fusillés pour l’exemple : du 24 mars au 2 avril 2018
Exposition et conférence de la Ligue des Droits de l’Homme, organisée par le PHàR en partenariat avec Monsieur André Silvain.
Le Nord-Pas-de-Calais dénombre 56 soldats de la Grande Guerre fusillés «pour l’exemple».
Il leur était reproché d’avoir refusé de partir à l’assaut, ou de s’être opposés à l’application des ordres, ou d’avoir fugué (même pour un temps limité), voire de s’être automutilés. Certains ont été tués sans pitié et sans procès sur le front lui-même, par leur officier, devant leurs camarades ; d’autres ont été traduits en justice et jugés par un tribunal militaire, mais sans jamais avoir eu l’opportunité de présenter leur défense pour justifier leur acte.
Leurs noms ne figurent que rarement sur nos monuments aux Morts.
L’un de ces hommes était rumaucourtois, et il était légitime que nous nous associons au combat pour la préservation de sa mémoire.
L’un de ces hommes était rumaucourtois, et il était légitime que nous nous associons au combat pour la préservation de sa mémoire.
- Conférence du Samedi 24 mars 2018, par Mme Maryvonne URBANIK de la Ligue des droits de l’Homme.
- et présentation de l’exposition aux élèves des classes de CE1, CM1 et CM2 de l’école de Rumaucourt (RPI) le vendredi 30 mars 2018.
Exposition les 10 et 11 novembre 2018 : Rumaucourt, un village vidé de ses habitants
En 1915, l’avancée allemande est stoppée : une guerre de tranchées commence.
A l’abri du front, l’occupant s’installe durablement dans le village de Rumaucourt qui devient lieu de repos pour les soldats, et lieu de soin pour les malades et blessés.
L’autorité militaire décide alors d’avoir « les mains libres » sur tous les bâtiments et habitations en évacuant la population.
De 1915 jusqu’à la libération, vieillards, femmes et enfants vont progressivement quitter Rumaucourt pour un long périple en wagons à bestiaux qui leur a fait traverser la Belgique, l’Allemagne et la Suisse jusqu’à Evian.
Delà, après une halte, ils repartaient pour un autre voyage en France non-occupée, vers la commune d’accueil qui leur était assignée.Exposition proposée par André SYLVAIN et Alain BERNARD,à la salle des fêtes de Rumaucourt, les 10 et 11 novembre 2018.